- Vous ressentez désormais de la nervosité et de l’insécurité au volant;
- Vous êtes désorienté et avez de la difficulté à choisir la direction à emprunter;
- Vous avez régulièrement des accrochages (ex. : avec la porte du garage ou les poubelles);
- Vous peinez à demeurer dans votre voie;
- Votre temps de réaction est lent et vous vous arrêtez souvent en catastrophe;
- Vous êtes facilement déconcentré et ratez les signaux routiers;
- Vous prenez des médicaments dont les effets secondaires (ex. : somnolence) nuisent à la conduite;
- Votre vision périphérique a diminué et vous ne voyez pas les deux côtés de la route lorsque vous regardez devant vous;
- Vous manquez de mobilité pour effectuer vos angles morts ou de force pour appuyer sur les pédales;
- Les autres automobilistes manifestent du mécontentement à votre égard (ex. : ils crient ou klaxonnent).
Vous avez relevé plusieurs de ces signes? Cela ne signifie pas forcément que vous devez renoncer à prendre le volant. Selon votre situation, vous pourriez notamment éviter de conduire la nuit ou durant les heures de pointe et vous faire accompagner lorsque vous devez emprunter un trajet qui ne vous est pas familier.
Par ailleurs, CAA-Québec et l’Association québécoise des retraité(e)s des secteurs public et parapublic (AQRP), entre autres, offrent des cours aux aînés qui souhaitent rafraîchir leurs connaissances ou adapter leur conduite à leur nouvelle condition. Un ergothérapeute pourrait également vous aider à améliorer votre mobilité, le cas échéant. Enfin, pensez à consulter votre médecin pour profiter de ses conseils et de ses recommandations.