9 avril 2024 - 05:00
Saint-Simon : le développement résidentiel débutera bientôt sur l’ancien site d’Olymel
Par: Le Clairon de Saint-Hyacinthe et région
Huit terrains ont été mis en vente sur la rue Saint-Édouard à Saint-Simon, à proximité de l’ancien site d’Olymel. Photothèque | Le Courrier ©�

Huit terrains ont été mis en vente sur la rue Saint-Édouard à Saint-Simon, à proximité de l’ancien site d’Olymel. Photothèque | Le Courrier ©

Le projet de développement résidentiel sur l’ancien site d’Olymel à Saint-Simon, Les Jardins Saint-Simon, prendra forme très prochainement. Un premier lot de huit terrains a été mis en vente pour y construire des immeubles de six logements. Les 66 autres terrains seront mis en vente en 2025 pour un total de 74 terrains.

La phase 1-A, qui concerne les huit terrains, pourra débuter tôt ce printemps puisque les terrains disposent déjà des services d’aqueduc et d’égout.

La phase 1-B consistera à la création d’une rue sur l’ancien terrain d’Olymel. On y construira des résidences unifamiliales isolées et jumelées, puis des plex et des bâtiments multilogements. Les 66 terrains seront mis en vente en 2025 lorsque le ministère de l’Environnement aura émis un certificat autorisant la construction de nouveaux réseaux d’égout et d’aqueduc. Il se pourrait aussi que certains terrains soient plutôt inclus dans une possible phase 1-C.

Pour toutes les phases, c’est la Municipalité qui vendra les terrains par l’entremise de son chargé de projet, le courtier immobilier Christian Morin de Pro Immobilier & hypothèque. Les entrepreneurs intéressés devront s’assurer de respecter des normes établies concernant l’architecture du secteur, dont le recouvrement extérieur des bâtiments. Des promesses de vente sont déjà sur la table avec certains entrepreneurs de la région.

La Municipalité devrait aussi décider sous peu à qui elle vendra l’ancienne usine d’Olymel. Les acquéreurs intéressés avaient jusqu’au 1er février pour déposer leur proposition. M. Morin est aussi le courtier responsable de cette transaction avec Paméla Sévigny de Re/Max Renaissance.

Questionné sur l’impact de cette décision et de l’identité du futur acquéreur sur les échéanciers pour les constructions domiciliaires, le courtier s’est montré rassurant. « Au niveau du développement domiciliaire, c’est un processus vraiment indépendant. Ça ne change rien dans nos délais », a-t-il mentionné.

A.B.

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